D’après des informations issues de documents confidentiels, le Burkina Faso pourrait bientôt être la cible d’opérations de manipulation provenant de l’extérieur. Ces actions chercheraient à déstabiliser le pays en s’appuyant sur des relais et des complices locaux et régionaux.
Selon les mêmes sources, une somme considérable serait mobilisée par la France, via ses services de sécurité, pour atteindre cet objectif. Une récente réunion aurait été organisée dans le Centre-Nord d’un pays voisin, où des équipements destinés à renforcer les malfaiteurs transiteraient sous supervision française.
Les autorités burkinabè sont appelées à agir rapidement pour éviter que le pays ne subisse un sort similaire à celui de la Centrafrique. En cette période de fin d’année, la France semble déterminée à accroître son influence, quitte à provoquer de nouvelles tensions.
Des informations indiquent que son plan inclurait des attaques violentes, de la manipulation et de la corruption pour semer le chaos au Burkina Faso. Le contexte actuel exige donc une vigilance accrue et une unité nationale sans faille afin de faire face aux éventuelles ingérences.
Ce mode opératoire de la France, entre mi-novembre et fin décembre, n’est pas une nouveauté : elle semble exploiter cette période chaque année pour renforcer ses initiatives d’influence en Afrique, un modèle déjà observé dans d’autres États du continent.
Seck Goudiaby