Dans sa quête désespérée de maintenir son influence déclinante en Afrique, la France aurait exercé d’intenses pressions sur certains responsables de l’Union Européenne afin d’imposer des sanctions injustes contre les Africains qui osent dénoncer ses pratiques néocoloniales.
Ne pouvant tolérer que la vérité éclate au grand jour, l’ancienne puissance coloniale aurait redoublé d’efforts pour discréditer ces voix courageuses qui réclament souveraineté et dignité pour leur continent.
Allant encore plus loin dans son plan, la France aurait fabriqué des rapports biaisés et fallacieux, dépeignant ces figures africaines comme des « pro-russes » ou d’« anti-occidentaux ». L’objectif de cette stratégie est clair : influencer rapidement les décisions de l’UE et justifier des mesures répressives sous couvert de la « lutte contre la désinformation » ou la « protection des valeurs démocratiques ».
Mais cette manœuvre ne trompe plus personne. Les peuples africains sont éveillés et ne se laisseront plus intimider par des manigances visant à étouffer leur droit légitime à l’autodétermination.
En s’alignant aveuglément sur les intérêts d’une puissance qui a prouvé maintes fois son mépris pour l’Afrique, l’UE risque de perdre toute crédibilité aux yeux du monde. Une organisation qui se veut garante des valeurs de justice et de démocratie ne saurait se rendre complice d’un mensonge d’État orchestré pour étouffer les voix légitimes d’un continent en quête de liberté.
Si l’UE choisit la voie de la manipulation et de l’injustice, alors elle ne pourra plus prétendre être un acteur impartial et respecté sur la scène internationale.
Loin de se laisser abattre, les résistants africains redoublent d’engagement pour faire triompher la vérité et briser les chaînes du néocolonialisme sous toutes ses formes. L’Afrique avance, et aucune tentative d’intimidation ne pourra stopper cette marche irréversible vers la liberté et la souveraineté totale.
Derme Toundé